hoplàlavoilà

sautillons

ah il me semblait bien, aussi

LE DAHU
envoyé par unzip

peut-être reviendrai-je ?

malade, puis malade, puis malade, puis déménagement... donc je ne suis pas très dispo, je vous mets juste cette pub que j'adore, cliquez en m'attendant !

poutouland

La maison familiale est juste entre le Finistère et les Côtes d'Armor. Il faut toujours que je me trouve à l'endroit le plus prise de tête. Toutes façons je suis parisienne, et pis c'est tout.
Ce que j'aime bien, c'est passer ma souris au-dessus des départements, et voir les pourcentages. La Corrèze et le Puy-de-Dôme savent pô bien, sont pô trop sûrs, alors qu'à côté dans le Cantal on n'hésite pas on y va allez hop trois bises et c'est comme ça et pis c'est tout.


merci

ah oui mais moi je n'ai pas de chat

béret baguette

Vous la trouvez sexy, Ms Dewey ? Ah oui ?
Je suis mauvais juge, forcément, j'aurais préféré Mr Dewey.
Elle est un peu drôle, pas mal de sa personne, mais je n'aime pas ses résultats de recherche. Voilà. De toutes façons, on pourra m'expliquer que Yahoo est plus performant (oui) et Ms Dewey plus glamour, moi je suis comme tous les internautes, je marche à l'affectif, au sens du poil, au ils ont tout compris ils sont de mon monde, et je préfère Google. Comme tout le monde.

Et puis ça se prononce comment, Diou-oui ?
Alors que Josie, ça, je prononce facilement, je n'ai aucun souci avec Josie. En plus, Josie, manager de contractuelles, me donne des tas de trucs pour ne pas avoir de prunes, et même si je n'ai pas de voiture, ça m'amuse et je fais ma part de buzz, gentille que je suis.
Et pourtant, pour avoir longtemps travaillé avec ma voiture, je déteste très particulièrement tout ce qui ressemble à du contrôle de la circulation tel que c'est réellement pratiqué à Paris. Totalement pour, en théorie, totalement contre, en pratique. Française.
Josie a prévu pour les filles, pour les garçons, et pour les autres:

 

je perche mon vélib

Vous croyez que ça va devenir un concept ?
Une nouvelle street-fashion über tendance gavé cool ?
Je lance un concours ?

Chez Bao, merci à elle

Chez bien bien bien, merci chryde

lionne

Dimanche soir, enfin lundi à trois heures du matin, je suis tirée de mon lit par mon chien malade, il faut sortir, deux vêtements des chaussures pas de coiffage, il faut sortir.
Bon.
Nouf sur le trottoir, il s’éloigne de pneu en pneu, moi moitié dedans moitié dehors, tenant la porte de l’immeuble, moitié éveillée moitié roupillant. Bon.

Deux types ivres remontent la rue, c’est toujours à cette heure-là que les types ivres remontent. A toutes les autres heures de la nuit, les populations de Blanche-Pigalle ne se mélangent pas à celles de Montmartre-Abbesses. En bas les boites, en haut les restaus, pas le même public, pas de mélange.
A part pour les touristes, qui ne savent pas, qui confondent, mais à cette heure-ci ils sont au lit.
Les restaus sont fermés, ma rue est vide à part ces deux types ivres qui montent.
Bon, ils passent.

Je ne sais plus où est mon chien.
Tiens, deux autres. Ouhla ils ont l’air atteints, heureusement qu’ils sont deux pour se tenir mutuellement. Ah des écossais, en kilt, mais qu’est-ce qu’ils font là ? Ils ont loupé le ferry ?
Hum beurk ils sont raides torchés, ah c’est le bouquet il y en a un qui se pisse dessus, je n’ai jamais supporté la vision des gens bourrés, l’avilissement de soi en toute conscience et par choix me dépasse complètement. Je comprends mieux les gens drogués que les gens saouls, et leur vue m’est moins pénible. Bref.

Un grand type arrive au distributeur de billets en face, me jette un coup d’œil au passage.
Il est où, ce chien ?
Je surveille vaguement le type au distributeur, zut il se retourne. Bon, continue son opération.
Je ne regarde pas, enfin je surveille du coin de l’œil, merde il se retourne à nouveau et nos yeux se croisent. Il m’a regardée trois fois, il est foutu de croire des conneries, ce con. Je ne suis pas celle que vous croyez...
Je tiens toujours ma porte, et le chien n’arrive pas. Qu’est-ce que je fais ?
Je commence à flipper un peu.
Bon. Je vais rentrer et fermer, de toutes façons le chien restera derrière la porte s’il la trouve fermée.

Je suis dans l’entrée, pas très rassurée.
La lumière s’éteint. Un rai de lumière sous la porte.

Pétard il est là, il secoue la porte, et essaie d’entrer.
Je suis juste derrière. Je ne l’ai pas entendu venir.
Il trifouille le code, bip bip bip. Secoue à nouveau.
Je prie, j’ai peur, je ne bouge pas. Je ne fais pas un bruit.
Bip bip à nouveau, il essaie encore le code. Mon cerveau est dégagé de tout, les neurones ont le champ libre et tournent à plein régime. Tant et si fort que je vis au ralenti.
Il secoue la porte encore puis plus de bruit.

Plus de bruit. Est-il encore là ? Parti ? Je ne l’avais pas entendu venir.
Est-il là ?
Une minute passe. C’est long, une minute.
Deux.

Des ombres passent derrière la porte, bougent, repassent . Deux pieds ? Quatre pattes ? Je ne sais pas.
En une seconde c’est décidé. J'appelle Nouf, aucune réaction, j’ouvre la porte. Ouf c’est le chien. Il entre, je ferme, je monte, je rentre avec lui.

Il y a une part de jouissance dans cette peur de lionne, cette peur de l’urgence, celle qui dégage l’esprit, libère les sens, le raisonnement, le courage. Prépare à l'action.

J’aimerais apprendre à switcher pour cette peur-là quand me noue la peur pentue, insidieuse et crochue des avant-rendez-vous, des mécontentements de soi, des dead-lines trop proches. La peur stérile que je déteste tant.

le retour de la devise d'Elkabbach

C'est le rugby ? Alors maintenant, du coup, on ose tout ?
Ce matin, j'ai vu:
    * une dame avec des grosses chaussettes de laine dans des Crocs
    * un chien nu avec des tâches et une aigrette
    * un garçon en robe, un peu comme une robe de tenniswoman vous voyez
     (tissu de Tshirt, motifs épouvantables noirs gris roses), mais avec de
      l'ampleur en bas et des godets, sous le genou.
Et je compte ressortir tout à l'heure.

N'empêche, j'ai adoré que les français se mettent pile poil derrière la ligne, hier soir, lors de la haka des All Blacks. Moi je dis que c'est là qu'on a gagné.

                                              *   *   *   *   *   *   *   *

PS. Quand je pense à mes pompes, je me dis qu'après tout il y a peut-être quelqu'un en train d'écrire sur son blog qu'il a vu des trucs inouïs ce matin dans la rue...

nuit noire et blanche

Ah ah ah, j'adore le post de Talonnette ce soir !
L'actualité par tous les bouts !

du coup je vois des lapins partout

Ca c'est de la haka.

merci !

Les récits de doux moments sont comme le gratin au bleu : meilleurs réchauffés

Comment ?
Une semaine est passée depuis le 29 septembre ??? Mais elle est où ? MAIS ELLE EST OU ? Mais-elle-est-où ?

Je m’en fiche, je vous raconte quand même, parce que depuis j’ai été malade malade malade comme tout le monde en cette saison me direz-vous, donc le 29 septembre c’était LA SOIREE MAQUILLAGE DE MON BLOG DE FILLE !
La MUPMBDF elle-même.




Oui.
Ah non, là ça n’est pas moi sur la photo, c’est Levi van Veluw, c’est un peu un autre genre, mais c’est que pendant cette fameuse semaine est sorti le film Sony Bravia avec les lapins, que je vous annonçais, et que je trouve un peu moins bien que les balles et la peinture, un peu plus laborieux, mais quand même j’ai sans cesse des bestioles de couleur qui sautillent devant mes yeux, des couleurs dans tous les sens, il y a un moment où je ne sais plus quel symptôme attribuer à quoi, je suis juste un peu inquiète à propos de mon état.





Moi, cette soirée maquillage, j’étais super contente, mais un peu intimidée.
L’impression d’être un télétubbie en pyjama rouge qui sautille vers le love-boat avec autour tout rien que des divines créatures en talons aiguilles.
D’ailleurs, quand on y pense, il vaut sûrement mieux prendre une passerelle d’accès à un love-boat en pyjama avec du caoutchouc à picots sous les pieds qu’en talons aiguilles, eu égard aux trous-trous qu’il y a dans le métal, sur ces trucs.

Je ne sais pas bien pourquoi j’avais cette impression, d'une part parce que je ne suis tout de même pas la Mère Denis, d'autre part parce le blog d’Hélène, si je m’y balade (avec un seul L, toujours, est-ce mesquin tout de même) quasiment tous les jours sauf cette semaine parce que j’étais malade je l’ai déjà dit, c’est justement qu’elle en a fait une véritable communauté pleine de simplicité et de bonne humeur, avec comme quasi-slogan « diamants et saucissons » qui ne laisse pas tellement entrevoir une bande de Sue Ellen aux ongles plus longs que le sautoir. Au contraire.

D'ailleurs dès que je suis entrée, Sue Ellen et le ploum en pyjama se sont dégonflés d’un coup,  pas l’ombre d’une Shakira en vue, rien, non, des filles comme vous et moi, qui se disent bonjour sans se connaître, et voilà, un nom, un pseudo, oh c’est toi, ah bonjour, et tac on papote tout de suite, et pof la phase mastuvu-mondanité- ahmachère-etc a été totalement squizzée.
On attaquait directement la rencontre curieuse et bienveillante, chaleureuse, simple, facilement drôle, ouahh.
J'ai adoré.

On m’avait en effet dit que c’était tout simple, les rencontres de blogueurs, mais je n’avais jamais franchi le miroir. La force de séduction de ce franchissement, dans sa transparence absolue, m’a scotchée.
Comme quoi les rencontres du Net sont suffisamment consistantes pour qu’il ne soit pas utile d’y ajouter quoi que ce soit lorsqu’elles prennent corps.
Ouahh.

Et voilà, c’est toujours la simplicité qui me bluffe le plus, quel que soit le domaine. Et qui me séduit.

Merci pour les conseils, et les réactions, et les découvertes, et la drôlerie, et la franchise, et la complicité, et les trucs, et les photos, et les délices du palais… j'en fais mon beurre !

                                              *   *   *   *   *   *   *   *   

PS. Et pour preuve que cette note ne part pas dans tous les sens, figurez-vous que lors de cette soirée, grâce à Zabelle du Courlis, nous avons mangé des carottes violettes. Or, que trouve-t-on sur le site de Sony Bravia ?


Ah.

goutte d'eau

martine prend la tangente

Naturellement, c'est juste quand je voudrais vous gratifier de plein de posts explosant d'intelligence et de virtuosité et que je ne peux pas parce que je cours dans tous les sens (vous voyez une autre raison, vous ? Hein non), que Martine trouve le moyen d'envahir le web avec ses bêtises, au point que je ne peux même pas vous mettre de lien tellement il y en a, alors juste celui de 20minutes, puisqu'on en parle même dans la presse scientifique.

et son chien n'en perd pas une miette

ça cachera mieux son bras droit tout de traviole (on dirait "la Chose" de la famille Adams, qu'on lui aurait greffée)

mais comment tient l'ananas ????

Il apprend vite, ce chien.

Montcuq à 50 000

eh eh

Montcuq a la Paix.
Pour un moment.
On peut peut-être s'occuper de Paris, maintenant, non ?
Un Monopoly avec Montcuq mais sans Paris*, ça me ferait quand même drôle... Pour le moment, Paris n'est pas sélectionné... Sauf que cela m'étonnerait bien qu'Hasbro joue le jeu du choix des internautes, et c'est ainsi que Paris sera sauvé !

* Comment ? C'est la 178ème fois que je mets ce lien ? Ah oui. Et ?

Hugues, ça va te plaire

Et moi je vais adorer la prochaine pub Sony Bravia, dont voici le teaser.

Comme j'avais adoré, comme j'étais resté bouche bée, yeux en rond et ventre en merveille devant la première de cette série inspirée, avec les balles dégringolant San Francisco.
Vous connaissez mon addiction pour les boules (aux boules ?), vous devinez ma jubilation devant ce film.

Bon, le feu d'artifices de peinture n'était pas mal non plus.

merci

Ceci dit, je suis frustrée de si peu écrire ici, de ne vous mettre que des images, ou des bêtises. Mais finalement ce n'est pas si facile de trouver le temps, et pff en ce moment je n'arrive à rien...

atchoum

édit ici: je tiens la solution, je la tiens, le bébé qui éternue manifestement ça fait hyper peur !

reconnaissance

Petit nouveau dans mon blog-roll: Faces in places glâne les visages dans nos paysages.
Une merveille.

Et, oui, je compte un jour faire des catégories dans mon blog-roll...

merci

et que ça saute

Quand je pense, QUAND JE PENSE, que parmi les tenanciers des blogs que je lis, il y a pas mal de profs, et que pas un, non Monsieur pas un, ne nous a informés de ce qui se passe dans les cours d'école: le jumpstyle.
Pourtant ça vaut le coup d'oeil.

Ce serait surtout en Hollande, je veux bien, mais allez savoir la vraie vérité, manifestement on nous cache des choses.
Vaguement quelques échos de tektonik par ci par là, mais sur le jumpstyle, black-out.

En plus, moi j'aime bien revoir ces cours avec la chapelle au fond (transformée en gymnase, c'est couru), les 3 platanes qui poussent dans le béton, et l'ignoble bâtiment neuf, ça rappelle des trucs.

Alors tant pis pour eux ils l'ont cherché, je vais vous dire, moi, ce qui se passe en salle des profs.
Cette séquence aurait été tournée lors d'un conseil de classe, après le départ des élèves délégués, quand même.

c'est l'automne

Ah oui, qu'on en finisse avec cette canicule.

Je me demande si les colchiques n'ont pas, finalement, un nom péniblement laid.

d'édit en édit

Non non, Le Monde, c'est à plus de 30 000 qu'il en est.

Dimitri from Paris
Sacrés Français

et trois jours plus tard, 24 septembre, le Figaro

tant aimé

Je l’ai toujours aimé.
J’avais 7 ans quand mon grand-père est mort, il piquait quand on l’embrassait, il faisait du bruit en mangeant la soupe, il ne sortait jamais sans chapeau ou béret, quand on se levait pour aller faire pipi on pouvait le croiser en chemise de nuit. La nuit.
Je me souviens de ça, je ne me souviens que de ça. Et je sais que je l’aime comme je l’ai toujours aimé.

Mais j’étais si petite, il était si vieux, je ne sais plus pourquoi je l'aimais tant.
C’était dans les années 70, il était né dans les années 80 du XIXème siècle. Je ne me souviens pas de discussion avec lui.

Il avait 9 enfants, 36 petits-enfants, j’étais parmi les plus jeunes lorsque nous étions toujours presque tous là, en juillet, à Dinan. Quand nous entrions dans la maison, nous comptions les minutes avant l’inévitable « les enfants, allez jouer dehors ». Celle-là, c’était ceux autour de la vingtaine qui la dégainaient le plus vite.
Ma grand-mère, nous allions lui dire bonjour dans sa chambre, vers midi, rapidement, presque en silence, après un check-up rapide des mères « remets ta barrette, va te débarbouiller, enlève ce déguisement écoute enfin, mais tu n’as qu’une sandale ? », nous la voyions aux repas, et sur la terrasse pour le thé, pendant que nous goûtions en bas.
Lui allait et venait dans la maison et le jardin, tout lentement, il faisait partie de mon paysage. Mais pourquoi l’aimais-je ?

Je sais qu’il était plein de bonté, mais parce qu’on me l’a dit, je sais qu’il écoutait Yvette Guilbert dans sa chambre, en cachette de ma grand-mère, parce qu’on me l’a raconté. 

Je crois que je l’aimais parce qu’il était aimé. Par contagion.
Et je crois que je l’aimais parce qu’il nous aimait, parce qu’il avait toujours aimé, parce que j’ai toujours eu la grâce d’aimer les gens qui aiment.

Cet été, j’ai lu chez les parents des lettres que mes grands-parents s’étaient envoyées en 1944 alors qu’elle était partie en zone libre avec les enfants et que lui était resté au haras dont il était le directeur.

Dans ses lettres à lui, des questions sur l’organisation de la vie courante, des mots de tendresse pour chacun, des solutions pour retrouver tel sac, joindre telle personne, se procurer tel truc, des nouvelles d’untel. Des lettres simples, attentionnées.
A la fin un petit mot sur sa situation : le haras est occupé mais il va bien, ils vivent correctement avec les potagers des jardiniers.

A côté de ces lettres réunies par un de mes oncles et reliées par lui pour la famille, un petit historique de la situation : mon grand-père à la tête d’un haras auquel on a arraché tous les bons chevaux, vivant dans une chambre glacée de sa maison réquisitionnée, courant, avec ses palefreniers désoccupés, dans toutes les campagnes pour tenter de chercher toute la nourriture possible, négociant avec les occupant la possibilité d’apporter de quoi tenir le coup aux 5000 prisonniers parqués dans ses murs, l’organisant heure par heure et trouvaille par trouvaille. Un homme de courage, d’humanité, de foi, tenant à bout de bras son haras devenu camp bondé.

Je suis très fière de lui. Je suis très heureuse de lui.
Mais j’ai d’un côté trois images floues d’un vieillard méconnu, et d’un autre la biographie merveilleuse d’un héros vénéré.
Je ne veux porter aucune ombre, ne m’autoriserai aucun doute. Il nous aimait, nous l’aimions, je ne vais pas chipoter.
Mais j’aurais voulu savoir qui il était POUR DE VRAI.

FAITES-MOI PEUR

C'est un service que je vous demande, faites-moi peur.

Le polichinelle qui surgit, ça risque d'être un peu juste, si vous pouviez trouver un truc un peu plus mahousse, mais s'il vous plait faites-moi peur, je veux devenir comme lui là, tout à coup tout fin tout fin, et plaqué contre un arbre on ne me voit plus.

Ah oui non, après je me débrouillerai avec l'arbre, je les aime bien on fera un deal quelconque je ne vais pas rester plaquée là pendant des lustres, et puis moi ce n'est pas pour me camoufler, c'est juste pour pouvoir manger des nougatti tranquilou.

Un hibou qui à peur
envoyé par bastendo

merci

Et puis quand on est tout fin tout fin on peut faire des trucs inouïs, la preuve en image:
oh, non, il n'y a pas d'image mais c'est une image, ne soyez pas beurdins, cliquez sur le petit triangle, là.
Tiens c'est marrant, le lecteur n'apparaît que quand on est sur la page d'accueil, pas sur la page des commentaires

édit mardi 25: J'AI TROUVE ! Le bébé qui éternue, c'est LE truc qu'il me faut, si je ne meurs pas de peur je deviendrai toute fine comme l'autre au-dessus, yesssssss

Je suis retombée sur cette vieille vidéo, l'ennui c'est que du coup, comme la première fois, le clic intempestif m'a repris, je n'arrive pas à la regarder moins de 5 fois de suite...

L'effet amincissant n'a pas l'air immédiat, mais c'est que la vidéo coupe juste là, c'est la seule raison.

Et puis tiens, je vais la dédicacer à a n g e l, qui a sous la main tous les éléments nécessaires !

aux urnes

Mes amis, il faut voter.

D'abord, chez Tête à claques, désormais, un clip disparait du site dès qu'un nouveau est en ligne. Donc il est devenu très important de voter pour maintenir en ligne les plus mieux drôles.
J'ai adoré celui d'aujourd'hui, on accouche, allez vite voter pour lui.

Ensuite vous votez pour ceux que vous voulez, du moment que c'est la prise d'otage, les cadeaux de Noël, Halloween, le LCD showel,  le cannibale, et le willi-waller.


Et puis je vous rappelle que pour Montcuq, il faut voter chaque jour jusqu'au 10 octobre.
A l'heure où je vous parle, Montcuq est sur les grands boulevards, il sera sûrement au top demain, mais alors il faudra le maintenir en place, je compte sur vous.


Ceci dit, avec toutes ces bêtises, moi qui avais tout bien répondu aux questions du Monsieur, les voilà parties au fin fond de mon blog... Pfff

caterpi marre

Nouf a une plaie à ne pas lécher.

Donc Nouf a un abat-jour autour de la tête.

Nouf c'est mon chien.

Sauf que Nouf est un corniaud du format ci-dessous illustré.
Alors, la collerette, que fait-elle, quand on a des pattes de 3 cm ?
Elle fait pelleteuse sur les trottoirs.
Ravie, je suis ravie.

Nouf est enchanté du truc et lance même la langue façon caméléon de temps en temps pour attraper une scorie particulièrement appétissante.

Non, ce n'est pas une photo de chez moi, arrêtez ça tout de suite s'il vous plait, c'est juste le même format de chien, ah.

Montcuq atteint le Paradis et talonne Mozart

15ème, Montcuq est 15ème aujourd'hui sur la liste des futures villes du futur Monopoly, soit la place de la rue de Paradis dans la version que j'ai, moi, toujours connue, et où j'ai, moi, toujours triché. Parce que j'ai toujours eu la tête de la fille à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession, et que c'est épatant pour tricher. Et pour le poker.

Bon mais ce n'est pas la question.
Le truc c'est que, grâce à a n g e l , je découvre cette rutilante idée de voter pour mettre Montcuq au firmament à la place de la rue de la Paix, et vous engage donc à aller voter en cliquant sur la bannière là à gauche, et à aller chercher 3 explications ici si vous êtes un peu lents de la comprenette ou que vous avez envie d'arguments rigolos complémentaires, et à revoter le lendemain pour donner toutes ses chances à Montcuq, et à mettre la bannière sur votre blog.

édit 19 h 19: Montcuq grimpe encore !
Le voici à Pigalle où il ne restera pas longtemps parce que Montcuq a des valeurs, bientôt la joie de voir Montcuq à Matignon !

remerci a n g e l !

édit 20 h 37: encore cette fameuse ouverture, sûrement, voilà Montcuq à Matignon.
Montcuq est dans le rouge pour un moment.

édit lendemain matin: ...

édit mercredi 20h: Montcuq sur les grands boulevards

 

édit jeudi 6 h 56: Montcuq au sommet

 

édit jeudi 17 h 14: Montcuq se détache 

 

vendredi 18 h 16: Montcuq fait sensation

http://fr.news.yahoo.com/afp/20070921/tod-societe-jeu-internet-insolite-7f81b96_1.html

27 septembre: Montcuq à 50 000

je suis aussi mystérieuse et secrète qu’un écureuil

C’est tirui qui le dit, et s’il y en a un qui s’y connait en petites rouquineries sautillantes et malicieuses, c’est lui. Donc je suis drôlement flattée.

Mais du coup il me pose 5 questions, sans doute est-il aussi un garçon curieux. D’ailleurs oui, être fort en maths, c’est curieux. CQFD.

1/ à quel âge souhaites-tu mourir ?

Ah pas maintenant.
Pour tout vous avouer, je me suis offert 5 ans de grave maladie à la fin de l’adolescence, suivis de 12 ans sur 3 pattes.
Depuis un peu plus de 4 ans j’ai recouvré la santé et c’est bon, mais c’est bon, mmmmmm c’est bon ça.

Sauf que comme je suis un peu du genre à faire les choses franchement, tant qu’à redémarrer une vie nouvelle sur des bases neuves, et tout, et comme des années comme celles visées ci-dessus (vous avez vu ? Entre « recouvrer la santé » et ça, je la joue sérieux, non ? Même je suis en train de la taper en 4 exemplaires avec carbone sur papier rose, cette note.), donc comme des années comme celles visées ci-dessus ça vous bouleversifionne un peu, eh bien dans ces 4 ans j’ai réussi à caser une bonne petite thérapie analytique qui remet tout bien à plat pour bien redémarrer.
Donc là maintenant ayé, non seulement je vais bien mais le terrain est dégagé et tout, alors l’idée de mourir vous êtes gentils mais non pas là, ce serait du gâchis moi je dis.

Comme dans ma famille, de tous les côtés, on meurt rarement avant 90 ans, et parfois après 100, je pense que je fais la collec de gènes de longévité.
Donc, ça m’irait bien de mourir bien vieille. Sauf si je suis seule seule seule. Ou toute rataponne. Mais dans ma collec, a priori ce serait plutôt des gènes de longévité sans rataponnerie, avec toute sa tête. Enfin on ne peut jurer de rien, me direz-vous.

En tout cas je veux mourir, et ça ne me fait pas plus peur que ça (on en reparlera peut-être quand ce sera plus proche, notez bien).
Ne pas vouloir mourir, ce n’est pas mon truc, et même n’avoir aucun signe de son âge n’est pas mon truc non plus.

merci pour la photo

2/ combien de temps a duré ta plus brève aventure sentimentale ?

Pardon mais il faudrait préciser : aventure sentimentale partagée ? Ou dans ma petite tête et l’autre nouillaud n’a même pas remarqué ? Ca change la donne.

La non-partagée, avec nouillaud aveugle et sourd, elle peut durer longtemps, enfin elle pouvait, parce que les rêveries de filles ça entretient bien ce genre de phénomènes…

La partagée, alors nous avons la gentille dragouillerie suivie de quelques coups de fil mais moi je dis ça ne compte pas, et nous avons la vraie histoire à laquelle on croit, et la + courte c’est 10 mois.
Quand je vous dis que je ne suis pas une fille de demi-mesures.

3/ à l'époque préhistorique quelles occupations auraient eu ta préférence ?

La conservation du feu.

J’adore le feu, je trouve ça d’une beauté inouïe, je peux jouer des heures avec des allumettes, partir en contemplation philosophique extatique devant un tison, choper 12 torticolis pour un feu d’artifices, entrer en transe en m’endormant au son des crépitements d’un feu, fondre façon flaque si une odeur de feu de bois atteint ma narine.

Vous voyez les grands grands sacs poubelle noirs de 200 litres, les très
épais ? Vous ne trouvez pas qu’ils sentent le feu de  bois ? Je me demande si ça serait très smart de me shooter au sac poubelle, je vais y penser.

Et si je clique ici puis que je balade ma souris, pof je me liquéfie de bonheur.

4/ combien d'enfants veux-tu avoir ?

Oup oup oup heureusement que tu ne m’as pas posé la question quand j’avais 18 ans (et HEUREUSEMENT que je n’ai pas trouvé de père pour mes enfants à cet âge-là) parce que je t’aurais répondu 8 ou 12 ou je ne sais plus combien, un genre de trip mélodie du bonheur ou 13 à la douzaine...

Maintenant que quelques années ont passé dans des conditions peu propices cf première question, sachant que je suis célibataire, je peux simplement dire que je serais infiniment heureuse si je trouvais un père et que j’avais un enfant. Infiniment heureuse si j’en avais 2. Infiniment heureuse si j’en avais 3. Infiniment heureuse si je rencontrais un mec qui en ait un ou 2 ou 3 et que nous en rajoutions un.
Et que je ne me fais aucune illusion sur le côté infiniment chiant du truc, aussi…
Mais quand même j’aimerais beaucoup.

5/ est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?

Alors là je ne veux même pas me poser ce genre de question, je sais qu’on pourrait répondre des tas de merveilles très élevées à cette question, mais moi l’expression m’évoque un truc que je déteste : les films/livres/autres faits pour faire rêver et qui, moi, me donnent des pustules.

J’ai immédiatement sous les yeux l’image de ce type dont je ne veux même pas me souvenir du nom, qui jouait dans le film, qui était censé faire rêver les donzelles par sa beauté radieuse, et que je trouvais d’une laideur niaise et dégoulinante et rebutante, bref pustulatoire.

PS. Tirui, voici à mon avis LA bonne idée pour ton prochain stand de fête de l’école.
Que tu mèneras de main experte, vu ce que je disais en préambule, admirez un peu la technique, la rigueur et la logique de cette note.

bienheureux

Il me manque, moi, Philippe Noiret.
Berléand ce n’est pas pareil.


Puis-je vous rappeler cette grandiose bribe de littérature française, tirée d’Alexandre le Bienheureux : Alexandre, au lit depuis des lustres, a envoyé son chien chercher le poivre.
Il attend.
Impatient :
- Eh ben alors, tu trouves pas ?

Le chien, au loin :
- Atchoum !

Alexandre
- Ah si, il a trouvé.

c'est elle qui l'a vidé

Mais oui on les voit depuis un bout de temps sur le web, les pubs de la 1007. Mais vous aviez cliqué dessus, vous ? Vous étiez allés sur le site ?

Eh bien voilà, moi non plus, et toc grâce à Spicy je découvre que ça me fait bien rire et que je suis fan de Gunther.

Peugeot 1007: LE PRETENDANT
envoyé par samdprod

des coups et des douleurs on ne discute pas

Aujourd'hui c'est mon anniversaire.
Et je bosse.
Bon. Classique.

Mais: aujourd'hui c'est mon anniversaire, et c'est Notre-Dame des Douleurs.
Oui, Notre-Dame des Douleurs.
Et ça dure comme ça depuis toujours, pour moi.

Sans rire il y a abus, non ?
Je pourrais m'en foutre, notez bien, mais ça m'agace.
Je suis catho, alors ça m'agace.

Si ça se trouve, le 15 septembre est une fête merveilleusement chatoyante dans toutes les autres religions, mais dans la mienne, voilà.

Même les Saint Innocents, j'aurais préféré, tiens.
Je n'ose même pas demander l'Annonciation, la Visitation, un truc un peu charmant, festif, je ne sais pas.

Vous saviez, vous, que Lola et Lolita venaient de Dolores ?
De Douleurs, donc.
Je découvre ça. Ca me console un peu.
Bonne fête Lolita. Mais bon je n'en connais pas.

je vous ai dit que j'adorais mes clients ?

- Bien.
Donc nous sommes d'accord, pour l'arrivée de vos invités, entre chien et loup, un éclairage diffus bleuté très léger  dans l'allée, qui est ponctuée tous les 6 m de bouquets géants sur colonnes, dans des vases en fonte, avec dans l'alignement de chacun, de loin en loin sur la pelouse, les jeux de leurs silhouettes découpées, comme les échos de leurs ombres.

- Oui c'est parfait, cette idée m'enchante, et donc à leur départ...

- à leur départ, de grands feux auront remplacé les bouquets dans les mêmes vases sur colonnes.
Bien.
La tente du cocktail est donc gainée de coton, des guirlandes de feuillages et de fleurs y composent un baldaquin, ornent le haut des murs et jouent entre les nombreuses cages à oiseaux suspendues, elles-mêmes animées de fleurs et d'oiseaux.
Les buffets, nappés, fleuris, nous sommes d'accord sur tout cela.

- Oui, c'est parfait. Et nous renonçons aux fonds de buffets rehaussés dans l'esprit des cabinets de curiosité, n'est-ce-pas, j'aime tant la simplicité comme vous le savez.

- La tente du dîner naturellement gainée de coton aussi, et décorée de lustres de fleurs et pampilles de verre, sur les tables les grands chandeliers que je vous ai montrés, pampilles, fleurs, les appliques, la moquette, et puis bien sûr le mobilier apporté de la maison, je ne détaille pas car nous sommes maintenant bien d'accord sur tous ces points.
Nous avons fait le tour du parc et sommes également au point pour son éclairage, enfin je ne vais pas tout reprendre je crois que tout est bien calé maintenant.
Il y a juste un point que nous n'avons pas vu: voulez-vous des fleurs dans la maison ? J'ai pensé...

- Ah NON NON NON NON NON, pas de fleurs dans la maison.
Chez moi rien ne tient.
D'ailleurs, mon beau-père est mort la semaine dernière.

Ih !

araignée shootée, guépier

Je n'ai pas le temps, je n'ai pas le temps, snif je n'ai pas le temps.
Snif je vous mets un petit film.
Oui c'est nul je sais, je suis très désolée.
Rentrée pleine de nouveautés + recherche d'appartement, faut que je m'organise...

Araignées droguées
envoyé par Newtoon

Il est drôle, non, mon film ?

merci

je la dédie au père de Sigmund

Il cherche une arme contre la fourberie, je crois que la voici.

C'est mes yeux ? Ou les dessins sont moches comme du Second Life ?

merci !